[Thorondor] Amahazra - La cité des enfants de la nature (Nature Mystique)
Ces temps sont fastes. Un nombre important de villages et de villes apparaissent sur le continent Thorondor. Parmi celles-ci une cité se développe dans les contrées du nord. Une communauté humaine s’ouvre au monde et au commerce depuis le cœur d’une forêt mystérieuse.
Origines
Lors des nuits sans lune, lorsque toute la communauté se rassemblent au coin des feux de camp, les anciens racontent les légendes des premiers Amahazräiennes et Amahazräiens pour endormir les enfants…

Il y a très longtemps, bien avant l’édification du grand dôme {{sous les racines de l’arbre millénaire}}, lorsque le monde rayonnait de magies primitives que l’on a oublié aujourd’hui, les ancêtres étaient séparés en cinq tribus nomades : les chasseurs, les éleveurs-cueilleurs, les sapeurs, les forestiers, et les sortilieurs.
Depuis des temps immémoriaux les tribus s’installaient les unes à la suite des autres sur les mêmes territoires du continent. Cette rotation ancestrale forgeait des liens profonds au cœur de la communauté des enfants de la nature. En effet, la survie d’une tribu dépendait énormément du travail de celles qui l’avait précédé dans la même région. Ce nomadisme particulier, ces relations distantes géographiquement et pourtant immensément solides déconcertaient les autres groupes des Hommes. La communauté tirait de son mode de vie et de sa culture une grande fierté.
Ainsi lorsque les chasseurs quittaient l’un de leur campement, ils laissaient derrière eux les os de leurs prises, les peaux séchantes pendues aux arbres et une bonne quantité de viande conservée dans des tonneaux de sel. Ils savaient que quelques semaines plus tard les cueilleurs s’installeraient à leur tour avec leurs troupeaux.
Les vaches, les moutons et les poules paissaient dans les prairies ou les clairières avoisinantes. Pendant ce temps les cueilleurs prélevaient dans la nature luxuriante des fruits, des baies, des herbes. Ils commençaient même grâce aux os des chasseurs quelques cultures que les tribus suivantes récolteraient au besoin. Lorsque l’herbe commençaient à manquer, ils levaient le camp après avoir dissimulé dans de vieilles souches ce qui serviraient aux tribus qui s’installeraient après eux : laine, plumes, peaux, tubercules.
A leur arrivée, les sapeurs retournaient la terre qui avait été piétinée par les bêtes. En aérant l’humus, ils créaient l’environnement idéal pour que de nouvelles plantes se développent. Ils récoltaient aussi ce qu’ils trouvaient dans les hautes couches de la croûte terrestre : minerais et roches plus ou moins précieux, qu’ils entreposaient sous les souches utilisées par les cueilleurs.
Ils laissaient ensuite la place aux forestiers, qui prenaient soin des plus jeunes pousses et abattaient les arbres vieux et malades. Lorsque tout le bois avait été écorcé et travaillé en planches, et lorsque les marques du passage des premières tribus s’effaçaient dans la forêt, ils partaient.
C’était alors le temps des sortilieurs. Sans eux, la vie des quatre autres tribus aurait été simple, rude et sobre. Mais avec eux, elle était magique. Les sortilieurs se servaient des ressources récoltées par les autres tribus pour créer des objets fantastiques et sophistiqués qui amélioraient la vie de toutes les tribus. Ils étaient aussi la tribu la plus commerçante : même si les autres groupes des Hommes se méfiaient de la communauté, et particulièrement des sortilieurs, leurs créations leur ouvraient les portes des villages et des villes. Grâce à eux, l’univers des enfants de la nature scintillait de féeries et de merveilleux.
Tous les ans pour le solstice d’été, tous convergeaient dans une plaine au pied d’une haute montagne pour commercer, échanger, se marier, se disputer, pleurer les morts et se réjouir des naissances. Les existences suivaient leurs cours dans un cycle qui semblait éternel.
Puis, il y eut l’éruption du volcan Katklis’hm. Les nuées toxiques envahirent le ciel et firent fuir les oiseaux. Il y eut d’immenses orages qui mirent le feu à la forêt et décimèrent les animaux sauvages et les troupeaux. Les pluies acides qui ruisselaient dans les fleuves rendirent toute pêche impossible et stérilisèrent les sols.
Cette année-là, lorsque les tribus se retrouvèrent au solstice, il n’y eut pas de fête. Beaucoup étaient terrifiés pour la survie de leurs enfants, et même pour leur propre survie. Le désastre touchait tous les Hommes, et le continent bruissait de rumeurs de guerres.
Les chasseurs étaient désemparés. Allaient-ils devoir se muer en soldats, faire couler le même sang qui pulsaient dans leurs veines ? Les sages savaient que ce serait un coup mortel porté à la culture de la communauté, une culture fondée sur le respect de toute vie. Sans les bienfaits abondants et naturels nécessaires à la société des enfants de la nature, il faudrait oublier la magie et se battre comme les autres groupes d’Hommes.
La communauté était à un point de bascule. Plusieurs choix se dessinaient et aucun ne semblait enviable. Fallait-il s’allier à un autre groupe d’Hommes ? Fallait-il se déplacer tous ensemble, et risquer d’épuiser les terres et la forêt ? Fallait-il se séparer ?
Il y eut des jours et des nuits entières de discussions, des centaines de papyrus griffonnés de plans et de chiffres. A l’aube du cinquième jour, alors que les chefs désemparés relisaient leurs notes et luttaient contre le sommeil, une petite ombre se glissa par un pli de la tente.
La petite main de la petite ombre tira la manche du chef des sorcelieurs :
« Mamou… Mamou… ça veut dire que je ne verrai pas la Giganruche pour mon anniversaire ? Tu me l’avais promis….
— Mais, qu’est-ce que tu fais là, mini-pousse… Et de quoi tu me… Attends, viens ici, murmura la vieille femme alors qu’elle prenait le jeune enfant sur ses genoux.
— Mais si, tu sais, la ruche avec les abeilles géantes, tu me racontais pour que je dorme. Tu as promis ! »
Les yeux de la vieille femme s’écarquillèrent de surprise. Elle peigna avec ses doigts les cheveux de l’enfant, en même temps qu’elle réfléchissait à cet espoir lointain. Dans une contrée reculée, au cœur d’une forêt primaire aux arbres immenses, une colonie d’abeilles géantes était installée dans un vallon arboré. Probablement la dernière colonie d’insectes géants du continent, d’ailleurs.
Ces lieux étaient tellement éloignés et étranges que les groupes d’Hommes, même la communauté des enfants de la nature, les évitaient. La vieille femme s’y était rendu en initiation, il y a des décennies de cela. Elle conservait précieusement les souvenirs des prodiges dont elle avait pu être témoin dans ce lieu particulièrement baigné de magie…
La décision d’y conduire toute la communauté des enfants de la nature fut prise en quelques heures. Le voyage dura des mois, et la communauté arriva à la fin de l’automne, pour trouver là aussi des traces du désastre causé par l’éruption du volcan. Les abeilles avaient été en partie décimées, et leur ruche était ébréchée de toute part. Les enfants de la nature remontèrent leurs manches.
Les chasseurs écumèrent la région à la recherche de matériel pouvant servir à la réparation, et revinrent avec la chrysalide vide d’un papillon géant. Les sapeurs creusaient des grottes pouvant servir d’abri contre le froid pour les plus fragiles. Les forestiers construisirent un immense échafaudage et les fermiers préparèrent des colles avec les cannes à sucre locales. Les sorcilieurs enchantaient tous ces matériels, et aidaient les abeilles à réparer les alvéoles et les parois abîmés.
Les deux colonies, humaines et mellifiques, continuèrent à s’entraider. L’hiver passa. Puis, les autres saisons et bientôt des années passèrent.
Il y eut d’autres hivers, d’autres épreuves, d’autres rencontres avec des créatures prodigieuses. Mais ce sont des histoires pour une autre nuit !
Organisation actuelle de la ville
Amahazra se situe sur une presque-île arboré, au creux d’un vallon. Les habitations se situent sous les arbres, autour d’un dôme central où se tient un marché.

Il existe différents types d’habitations. Les plus simples en apparence sont de petites tentes qui surplombent un sous-sol que les habitants aménagent à leur convenance. Il y a aussi des souches creusées avec toit terrasse, et de grandes maisons colorées.
Ces habitations sont rassemblées autour de feux de camp ou de petits étangs, ou encore le long de chemins tortueux qui serpentent entre les arbres. Il n’y a pas vraiment de quartier aux frontières claires, même si les descendants d’une même tribu continuent à parfois à habiter ensemble.
Les espaces communautaires comme les fermes et les entrepôts sont souvent souterrains et peuvent être reliés entre eux.
En matière d’urbanisme, l’asymétrie et l’originalité des constructions sont érigées en règles. Les secrets, les cachettes, les jeux de transparence sont nombreux.




Evolution du projet (HRP)
- Constructions terminées
La première construction, la semaine dernière : le grand Dôme

Eléments décoratifs :
- champignons géants, abeille, chemins :


- Les constructions suivantes : les premières tentes, les maisons plus "riches" et grandes (les colorées), les souches et pour finir les maisons hybrides tronc/champignon. Les habitants les aménagent à leur guise.
Les espaces communautaires :
- La Forge : (Table d'enchantement, Enclumes, EnderChest)

- Les Fermes : (5 étages de plusieurs ressources faisant 5 chunks / 4 chunks)


- Quelques échoppes, sous le dôme : Des échoppes sont disponibles sous le Dome avec des prix moins chers qu'à l'HDV


Prochaines constructions
- D’autres maisons toutes plus originales les unes que les autres
- Aménagement et décoration des maisons
- Place avec des échoppes à acheter
- Les idées de constructions à plus long terme
- Hôtel de guilde, pour accueillir les compagnons qui viennent aider à la construction
- Thermes
- Complexe souterrain et habitations troglodytes
- D'autres animaux géant et créatures magiques
- Plus de décoration extérieur
Organisation du projet (HRP)
Propriétaire et chef Builder : WynnMy
Builder Assistant : Aikide
Bras droit Recrutement : MrPoneyBear
Bras droit Ressources et Projet : Flindersia
Membres : 16
Nous avons un Discord (https://discord.gg/QSHte6f), n’hésitez pas à passer parler des actualités du serveur, vous renseigner sur la ville, échanger des découvertes musicales ou afin de nous contacter afin de rejoindre notre ville !
Coordonnées
-55 ; - 3765
Nous possédons désormais un point de spawn dans la ville ! Pour cela : /t spawn Amahazra
Nous rappelons que le tp est gratuit et disponible à tous !
Ces temps sont fastes. Un nombre important de villages et de villes apparaissent sur le continent Thorondor. Parmi celles-ci une cité se développe dans les contrées du nord. Une communauté humaine s’ouvre au monde et au commerce depuis le cœur d’une forêt mystérieuse.
Origines
Lors des nuits sans lune, lorsque toute la communauté se rassemblent au coin des feux de camp, les anciens racontent les légendes des premiers Amahazräiennes et Amahazräiens pour endormir les enfants…

Il y a très longtemps, bien avant l’édification du grand dôme {{sous les racines de l’arbre millénaire}}, lorsque le monde rayonnait de magies primitives que l’on a oublié aujourd’hui, les ancêtres étaient séparés en cinq tribus nomades : les chasseurs, les éleveurs-cueilleurs, les sapeurs, les forestiers, et les sortilieurs.
Depuis des temps immémoriaux les tribus s’installaient les unes à la suite des autres sur les mêmes territoires du continent. Cette rotation ancestrale forgeait des liens profonds au cœur de la communauté des enfants de la nature. En effet, la survie d’une tribu dépendait énormément du travail de celles qui l’avait précédé dans la même région. Ce nomadisme particulier, ces relations distantes géographiquement et pourtant immensément solides déconcertaient les autres groupes des Hommes. La communauté tirait de son mode de vie et de sa culture une grande fierté.
Ainsi lorsque les chasseurs quittaient l’un de leur campement, ils laissaient derrière eux les os de leurs prises, les peaux séchantes pendues aux arbres et une bonne quantité de viande conservée dans des tonneaux de sel. Ils savaient que quelques semaines plus tard les cueilleurs s’installeraient à leur tour avec leurs troupeaux.
Les vaches, les moutons et les poules paissaient dans les prairies ou les clairières avoisinantes. Pendant ce temps les cueilleurs prélevaient dans la nature luxuriante des fruits, des baies, des herbes. Ils commençaient même grâce aux os des chasseurs quelques cultures que les tribus suivantes récolteraient au besoin. Lorsque l’herbe commençaient à manquer, ils levaient le camp après avoir dissimulé dans de vieilles souches ce qui serviraient aux tribus qui s’installeraient après eux : laine, plumes, peaux, tubercules.
A leur arrivée, les sapeurs retournaient la terre qui avait été piétinée par les bêtes. En aérant l’humus, ils créaient l’environnement idéal pour que de nouvelles plantes se développent. Ils récoltaient aussi ce qu’ils trouvaient dans les hautes couches de la croûte terrestre : minerais et roches plus ou moins précieux, qu’ils entreposaient sous les souches utilisées par les cueilleurs.
Ils laissaient ensuite la place aux forestiers, qui prenaient soin des plus jeunes pousses et abattaient les arbres vieux et malades. Lorsque tout le bois avait été écorcé et travaillé en planches, et lorsque les marques du passage des premières tribus s’effaçaient dans la forêt, ils partaient.
C’était alors le temps des sortilieurs. Sans eux, la vie des quatre autres tribus aurait été simple, rude et sobre. Mais avec eux, elle était magique. Les sortilieurs se servaient des ressources récoltées par les autres tribus pour créer des objets fantastiques et sophistiqués qui amélioraient la vie de toutes les tribus. Ils étaient aussi la tribu la plus commerçante : même si les autres groupes des Hommes se méfiaient de la communauté, et particulièrement des sortilieurs, leurs créations leur ouvraient les portes des villages et des villes. Grâce à eux, l’univers des enfants de la nature scintillait de féeries et de merveilleux.
Tous les ans pour le solstice d’été, tous convergeaient dans une plaine au pied d’une haute montagne pour commercer, échanger, se marier, se disputer, pleurer les morts et se réjouir des naissances. Les existences suivaient leurs cours dans un cycle qui semblait éternel.
Puis, il y eut l’éruption du volcan Katklis’hm. Les nuées toxiques envahirent le ciel et firent fuir les oiseaux. Il y eut d’immenses orages qui mirent le feu à la forêt et décimèrent les animaux sauvages et les troupeaux. Les pluies acides qui ruisselaient dans les fleuves rendirent toute pêche impossible et stérilisèrent les sols.
Cette année-là, lorsque les tribus se retrouvèrent au solstice, il n’y eut pas de fête. Beaucoup étaient terrifiés pour la survie de leurs enfants, et même pour leur propre survie. Le désastre touchait tous les Hommes, et le continent bruissait de rumeurs de guerres.
Les chasseurs étaient désemparés. Allaient-ils devoir se muer en soldats, faire couler le même sang qui pulsaient dans leurs veines ? Les sages savaient que ce serait un coup mortel porté à la culture de la communauté, une culture fondée sur le respect de toute vie. Sans les bienfaits abondants et naturels nécessaires à la société des enfants de la nature, il faudrait oublier la magie et se battre comme les autres groupes d’Hommes.
La communauté était à un point de bascule. Plusieurs choix se dessinaient et aucun ne semblait enviable. Fallait-il s’allier à un autre groupe d’Hommes ? Fallait-il se déplacer tous ensemble, et risquer d’épuiser les terres et la forêt ? Fallait-il se séparer ?
Il y eut des jours et des nuits entières de discussions, des centaines de papyrus griffonnés de plans et de chiffres. A l’aube du cinquième jour, alors que les chefs désemparés relisaient leurs notes et luttaient contre le sommeil, une petite ombre se glissa par un pli de la tente.
La petite main de la petite ombre tira la manche du chef des sorcelieurs :
« Mamou… Mamou… ça veut dire que je ne verrai pas la Giganruche pour mon anniversaire ? Tu me l’avais promis….
— Mais, qu’est-ce que tu fais là, mini-pousse… Et de quoi tu me… Attends, viens ici, murmura la vieille femme alors qu’elle prenait le jeune enfant sur ses genoux.
— Mais si, tu sais, la ruche avec les abeilles géantes, tu me racontais pour que je dorme. Tu as promis ! »
Les yeux de la vieille femme s’écarquillèrent de surprise. Elle peigna avec ses doigts les cheveux de l’enfant, en même temps qu’elle réfléchissait à cet espoir lointain. Dans une contrée reculée, au cœur d’une forêt primaire aux arbres immenses, une colonie d’abeilles géantes était installée dans un vallon arboré. Probablement la dernière colonie d’insectes géants du continent, d’ailleurs.
Ces lieux étaient tellement éloignés et étranges que les groupes d’Hommes, même la communauté des enfants de la nature, les évitaient. La vieille femme s’y était rendu en initiation, il y a des décennies de cela. Elle conservait précieusement les souvenirs des prodiges dont elle avait pu être témoin dans ce lieu particulièrement baigné de magie…
La décision d’y conduire toute la communauté des enfants de la nature fut prise en quelques heures. Le voyage dura des mois, et la communauté arriva à la fin de l’automne, pour trouver là aussi des traces du désastre causé par l’éruption du volcan. Les abeilles avaient été en partie décimées, et leur ruche était ébréchée de toute part. Les enfants de la nature remontèrent leurs manches.
Les chasseurs écumèrent la région à la recherche de matériel pouvant servir à la réparation, et revinrent avec la chrysalide vide d’un papillon géant. Les sapeurs creusaient des grottes pouvant servir d’abri contre le froid pour les plus fragiles. Les forestiers construisirent un immense échafaudage et les fermiers préparèrent des colles avec les cannes à sucre locales. Les sorcilieurs enchantaient tous ces matériels, et aidaient les abeilles à réparer les alvéoles et les parois abîmés.
Les deux colonies, humaines et mellifiques, continuèrent à s’entraider. L’hiver passa. Puis, les autres saisons et bientôt des années passèrent.
Il y eut d’autres hivers, d’autres épreuves, d’autres rencontres avec des créatures prodigieuses. Mais ce sont des histoires pour une autre nuit !
Organisation actuelle de la ville
Amahazra se situe sur une presque-île arboré, au creux d’un vallon. Les habitations se situent sous les arbres, autour d’un dôme central où se tient un marché.

Il existe différents types d’habitations. Les plus simples en apparence sont de petites tentes qui surplombent un sous-sol que les habitants aménagent à leur convenance. Il y a aussi des souches creusées avec toit terrasse, et de grandes maisons colorées.
Ces habitations sont rassemblées autour de feux de camp ou de petits étangs, ou encore le long de chemins tortueux qui serpentent entre les arbres. Il n’y a pas vraiment de quartier aux frontières claires, même si les descendants d’une même tribu continuent à parfois à habiter ensemble.
Les espaces communautaires comme les fermes et les entrepôts sont souvent souterrains et peuvent être reliés entre eux.
En matière d’urbanisme, l’asymétrie et l’originalité des constructions sont érigées en règles. Les secrets, les cachettes, les jeux de transparence sont nombreux.




Evolution du projet (HRP)
- Constructions terminées
La première construction, la semaine dernière : le grand Dôme

Eléments décoratifs :
- champignons géants, abeille, chemins :


- Les constructions suivantes : les premières tentes, les maisons plus "riches" et grandes (les colorées), les souches et pour finir les maisons hybrides tronc/champignon. Les habitants les aménagent à leur guise.
Les espaces communautaires :
- La Forge : (Table d'enchantement, Enclumes, EnderChest)

- Les Fermes : (5 étages de plusieurs ressources faisant 5 chunks / 4 chunks)


- Quelques échoppes, sous le dôme : Des échoppes sont disponibles sous le Dome avec des prix moins chers qu'à l'HDV


Prochaines constructions
- D’autres maisons toutes plus originales les unes que les autres
- Aménagement et décoration des maisons
- Place avec des échoppes à acheter
- Les idées de constructions à plus long terme
- Hôtel de guilde, pour accueillir les compagnons qui viennent aider à la construction
- Thermes
- Complexe souterrain et habitations troglodytes
- D'autres animaux géant et créatures magiques
- Plus de décoration extérieur
Organisation du projet (HRP)
Propriétaire et chef Builder : WynnMy
Builder Assistant : Aikide
Bras droit Recrutement : MrPoneyBear
Bras droit Ressources et Projet : Flindersia
Membres : 16
Nous avons un Discord (https://discord.gg/QSHte6f), n’hésitez pas à passer parler des actualités du serveur, vous renseigner sur la ville, échanger des découvertes musicales ou afin de nous contacter afin de rejoindre notre ville !
Coordonnées
-55 ; - 3765
Nous possédons désormais un point de spawn dans la ville ! Pour cela : /t spawn Amahazra
Nous rappelons que le tp est gratuit et disponible à tous !
Dernière édition: